Foire aux questions sur les problèmes d’humidité

• Une teneur en eau trop élevée dans l’air de votre habitation a de fortes répercussions sur la santé et la salubrité de votre logement.
• Les maladies respiratoires
  L’apparition de moisissures, de salpêtre et de champignons sur vos murs n’est jamais bon signe. Leur présence entraîne des réactions allergiques comme de l’asthme. Il se manifeste par une gêne respiratoire et des crises occasionnelles accompagnées d’une respiration sifflante et d’expectorations de mucus. L’asthme est une maladie potentiellement dangereuse pour les personnes âgées malgré les traitements médicamenteux existants.
  Autre répercussion de l’humidité sur les voies respiratoires : la bronchite. Provoquée par une irritation des poumons, cette maladie peut devenir chronique, s’aggraver et se transformer en pneumonie.
• Des douleurs articulaires
  La présence d’humidité peut réveiller des douleurs au niveau des articulations (l’arthrite et l’arthrose). Une étude de l’Université de Manchester au Royaume-Uni a montré que moins il pleut, moins les personnes se plaignent de rhumatismes et autres douleurs chroniques.
• La dégradation de votre environnement
  Laisser une habitation dépasser 50% de taux d’humidité sur le long terme peut provoquer des dégâts matériels importants : pourrissement du bois, mauvaises odeurs, développement de bactéries, champignons, fragilisation des structures, augmentation de la porosité etc.

Lié à la température intérieure de votre maison, le taux d’hygrométrie idéal est de 50 % d’humidité relative pour 20°C de température. Le maintien de ce taux dans les pièces à vivre vous permet de vivre dans un environnement sain et d’éviter la condensation. Dans ce cas précis, le poids d’eau dans l’air est de 7 gr d’eau /Kg d’air.
Les mêmes paramètres s’appliquent à la cave ou le sous-sol. Non chauffées, ces pièces ont généralement un taux d’humidité entre 70 % et 80 % pour 15°C de température. Si la température n’augmente pas alors ce taux ne présente aucun danger. Dans ce cas précis, le poids d’eau dans l’air se situe entre 7 et 8.5 gr d’eau /Kg d’air.

L’humidité dans une maison engendre des conséquences néfastes aussi bien sur votre santé que votre bâtiment. Il est essentiel d’entretenir et prévenir sa formation dès la construction et l’isolation de votre maison en favorisant une bonne circulation de l’air. Pour les logements anciens, il faudra veiller à avoir une ventilation efficace afin d’éviter les phénomènes de condensations. Autre point de vigilance : les remontées capillaires ou ascensionnelles qui concernent les constructions antérieures aux années 50 ne disposant pas d’arase d’étanchéité.

Souvent non chauffés et mal ventilés, la cave et le sous-sol sont particulièrement sensibles à l’humidité. Il est essentiel de protéger le soubassement avec une étanchéité et de poser un drainage autour de celle-ci. Il faut également prévoir deux ouvertures en opposition donnant sur l’extérieur pour faire circuler l’air ou bien mettre un déshumidificateur.

En voulant éliminer l’humidité présente dans votre maison ou prévenir sa formation, certains mauvais réflexes sont à proscrire. Un défaut de ventilation de votre habitation entraînera une production d’humidité et sera la cause des nombreux dommages liés à sa présence. Afin d’éviter une mauvaise évacuation de l’humidité et la création de condensation, voici ce qu’il ne faut pas faire :

• Boucher les entrées d’air des fenêtres. En isolant trop, l’air neuf n’entre plus.
• Faire des ouvertures aux mauvais endroits (sur les murs ou sur les fenêtres de la cuisine, de la salle de bain, de la buanderie).
• Placer des extractions ailleurs que dans la cuisine, la salle de bain, les wc, la buanderie.
• Stopper la VMC. Le système de ventilation doit toujours être en fonctionnement.
• Chauffer à outrance. Le poids de l’eau dans l’air sera trop important et impactera le taux d’humidité idéal.

Le dispositif ISOSEC est un capteur réémetteur. Il capte l’énergie du champ magnétique sous bâtiment et renvoie un signal contraire à celui qu’il reçoit. Cela a pour effet l’annulation du courant électrique donc la molécule d’eau n’a plus assez d’énergie pour remonter dans le mur.

Cela revient à fermer le robinet. L’humidité déjà présente dans le mur va de fait s’évaporer et à terme, le mur va s’assécher car il ne sera plus alimenté par le bas.

ISOSEC et HYGROTOP sont propriétaires du brevet du procédé géomagnétique autonome qui fait ses preuves depuis 30 ans. L’appareil ne contient pas d’élément d’usure, il a donc une très longue durée de vie. Il a l’avantage d’être entièrement autonome et d’être auto alimenté par le champ magnétique terrestre et donc aucun impact sur la santé. Renov Biotech partenaire exclusif sud-est met en œuvre cette technologie depuis de nombreuses années sur toute la région PACA de Menton à Nice en passant par Avignon, Marseille, Aix en Provence Toulon et jusqu’à Montélimar.

Touchant les constructions d’avant 1959 le plus souvent, à l’époque où le DTU n’était pas acté, la remontée capillaire (ou ascensionnelle) est une migration naturelle de l’humidité contenue dans le sol. Elle gagne peu à peu les niveaux bas des murs des bâtiments, de 50 cm à 2m de hauteur et est extrêmement destructrice. Sans traitement de ces remontées ascensionnelles vous verrez vos enduits se décoller ou boursoufler, vos plinthes gondoler, vos papiers peints pourrir, les murs s’effriter etc… Votre santé risque d’être mise en danger avec l’apparition de mousses et de moisissures.